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Les voiles sont déjà sorties et certains volent en Soaring. Mais la nature est cruelle et en moins de deux minutes, plus rien. Tout le monde se pose au décollage sans problème. Lionel et moi déplions nos machines et 30 minutes plus tard, les gros barbules paraissent plus sages. |
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un barbule fait le reste avec du +4 voir +6m/s sans souci. 730m plus haut la vue est incroyable mais le problème reste entier. Le nuage aspire encore et je suis loin du bord pour dégager. Sous la Syrius, je prépare les oreilles et redescend lentement dans du 0.5 voir 1m/s. |
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200m au dessus du déco, je relâche les oreilles et continue à descendre |
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Et allons-y pour les oreilles. Et même avec les oreilles, le nuage m'aspire comme un brin de paille. Oreille plus accélérateur et je descend doucement. Les bras tétanisés par l'effort, le froid, il faut pourtant tenir, tenir pour ne pas remonter. Le bord du nuage est trop loin pour tenter une sortie de secours... |